We Never Learn tome 1

Résumé

Nariyuki est un des élèves les plus doués de sa classe de terminale et il rêve d’intégrer la meilleure université du pays. Mais comme sa famille est pauvre, il a besoin d’une bourse. La chance lui sourit quand son proviseur lui en propose une… mais à une condition ! Nariyuki doit aider Rizu et Fumino, deux filles qui excellent chacune dans leur matière de prédilection, mais qui sont nulles dans celle qu’il doit leur enseigner. Son calvaire ne fait que commencer…

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Mon avis

Bonjour tout le monde ! On commence très bien la journée avec LA nouveauté du jour : We Never Learn, le nouveau manga des éditions Kazé. Ça sort aujourd’hui-même, et une fois encore vous avez de la chance, car je vous livre mon avis, sans spoiler afin que vous puissiez foncer vous procurer ce premier tome très rapidement !

We Never Learn est un shonen édité dans le Weekly Shonen Jump et qui compte déjà sept tomes au Japon. On retrouve le mangaka Tsutsui Taichi dont on avait déjà pu apprécier le talent en tant que dessinateur sur le titre Kosaki Magical Patissière un petit spin-off de Nisekoi également aux éditions Kazé.

Sauf que cette fois, le mangaka est seul aux commandes et on avait hâte de voir ce que ça allait donner ! Et après ce premier tome, le résultat est vraiment très convaincant. On est dans un shonen de typa harem (rien de sexuel, mais comprenez par là que les héros est un garçon et qu’il aura toute une armée de filles qui vont graviter autour de lui, un peu comme Nisekoi).

Des personnages attachants

En effet, le jeune héros, Nariyuki Yuiga est un lycéen qui travaille dur pour obtenir une bourse et intégrer une université réputée. Son père étant décédé il y a quelques années, sa famille est donc sans le sous, et seul homme de la maison, il lui incombe la lourde tâche de subvenir rapidement à leur besoin, ou du moins, de ne pas être un poids supplémentaire. C’est d’ailleurs un très bon élève, qui fait toujours parti des premiers de la classe, mais qui se fait battre de peu par deux génies. La première est Fumino Furuhashi qui excelle en littérature. La deuxième est Ogata Rizu, qui est excellente en mathématiques.

Mais pour obtenir sa bourse et intégrer une prestigieuse université, Nariyuki va devoir aider Fumino et Ogata qui bien qu’étants des génies dans leurs domaines respectifs, sont totalement nulles dans le domaine de l’autre ! Autant vous dire que les situations sont très drôles et on ne s’ennuie pas une minute ! Le manga se dévore rapidement, tant on s’amuse des situations que doit surmonter le pauvre Narikyuki.

Un petit air de Nisekoi

D’ailleurs, il n’a pas que Fumino et Ogata qu’il doit encadrer. Il y a aussi Urura Takemoto, une génie du sport, et plus précisément de la natation mais qui elle est totalement nulle dans les autres disciplines. On est donc ici sur un schéma assez classique, avec le personnage principal qui va les aider à chaque fois, qui va les booster, les motiver et qui va souvent se retrouver dans des situations farfelues. Il y a un coté très Nisekoi dans le genre, même si la romance n’est pas encore bien présente, on sent qu’a un moment ou un autre, il devra choisir l’une des trois.

Même s’il ne révolutionne pas le genre, ce premier tome de We Never Learn est vraiment très bon, et j’ai retrouvé cette saveur si particulière que j’avais eu lorsque j’avais découvert Nisekoi. Les personnages sont très attachants et en un seul tome, on ne veux déjà plus les quitter. C’est frais, drôle, sans prise de tête, et bien dessiné. Il est encore trop tôt pour dire que l’on a ici la relève de Nisekoi, mais il se pourrait bien qu’on ai ici un titre qui devienne rapidement un incontournable du genre. D’ailleurs, une adaptation en animé est déjà prévue, ce qui augure que de bonnes choses pour ce manga !

Ma note : 16/20

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Et vous les amis ? Est-ce que ce titre vous tente ? Si vous aimez Nisekoi, je vous encourage à tester We Never Learn ! Et si vous ne connaissez pas, je vous encourage encore plus à tester ^^

N’hésitez pas à liker, commenter et partager si l’article vous a plu 😉

 

*Article rédigé par Xander*